Né en 1978 à Toulouse, L’Atlas (Jules Dedet Granel) est une figure incontournable du street art contemporain, reconnu pour son approche unique mêlant calligraphie, abstraction géométrique et art optique. Fasciné par l’histoire de l’écriture, il se détourne des voies académiques traditionnelles pour voyager au Maroc, en Égypte, en Syrie et en Chine, où il étudie la calligraphie et la sigillographie auprès de maîtres reconnus. De retour à Paris, il fusionne ces techniques anciennes avec les médiums du graffiti, notamment le ruban adhésif et la peinture en spray, donnant naissance à un langage visuel structuré et hypnotique.


Ses motifs emblématiques – labyrinthes, compas, formes géométriques – créent des œuvres immersives où l’interaction entre le noir et le blanc incarne une dualité fondamentale. Son art, ancré dans la tradition et la modernité, dépasse les frontières du graffiti pour s’imposer dans les galeries et institutions majeures. En perpétuelle recherche d’innovation, il développe des installations monumentales, investissant l’espace urbain autant que le monde de l’art contemporain.


Aujourd’hui, L’Atlas est une référence mondiale du post-graffiti, exposant aux quatre coins du globe, des États-Unis à l’Asie, en passant par les plus grandes institutions européennes. Ses œuvres sont présentes dans des collections prestigieuses, témoignant d’une maîtrise parfaite entre traditions historiques et expressions modernes.

L'Atlas
(né en 1978)

Janvier
2024

" District 13-Art fair "

Pour l’édition 2024 de District 13 - Art Fair, L’Atlas pousse son exploration du post-graffiti vers une approche résolument optique et immersive. En jouant sur la stratification des formes, la vibration des lignes et l’alternance du noir et du blanc, il génère un dialogue hypnotique entre fixité et mouvement, structure et dissolution.


Ses compositions labyrinthiques, inspirées autant de la calligraphie que de l’art cinétique, défient la perception et sollicitent activement le regard. Les formes s’enchevêtrent, les contrastes s’intensifient, et l’espace semble en perpétuelle métamorphose, créant une expérience visuelle où la matière picturale oscille entre équilibre et rupture.


Par cette nouvelle série, L’Atlas renouvelle son langage plastique, fusionnant les codes du post-graffiti et de l’abstraction géométrique. Il propose une lecture où le rythme et la lumière deviennent des acteurs à part entière, offrant une réflexion sur la manière dont l’image se construit et se déconstruit sous l’effet du regard. Une exposition qui ancre son travail dans une dynamique contemporaine, où perception et illusion se confondent.

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